18 millions de français détiennent un contrat d’assurance-vie avec une épargne de près de 1 900 milliards d’euros.
L’assurance-vie a trois objectifs principaux : épargner, protéger et transmettre
À l’intérieur de cette enveloppe d’épargne et d’investissement, vous pouvez intervenir sur n’importe quelle zone géographique et secteur d’activité.
De plus, vous pouvez le faire avec le profil qui vous correspond le mieux du plus sécuritaire et prudent (contrat monosupport par le fonds en euros) au plus dynamique par un contrat multisupports avec les SICAV, les ETFs, les SCPI (pierre-papier) et chez certains assureurs, on peut même trouver à acheter des titres vifs.
Dans cet article, je ne vous parle pas de la fiscalité avantageuse de ce support par les gains et la transmission au bénéficiaire en cas de décès, mais nous allons voir trois règles d’or indispensables pour souscrire à une assurance-vie de qualité.
- Le choix du meilleur assureur
- Contrat collectif ou individuel
- Le rendement du fonds en euros
Puis nous verrons dans un second article les frais prélevés, la diversification en investissant dans les unités de compte, mais aussi le service à la clientèle et à l’accès à l’information.
Les 3 règles d’or pour un contrat d’assurance-vie solide et performant
Nous avons une multitude d’organismes financiers (banques traditionnelles, mutuelles et courtiers/banques en ligne) pour nous permettre de souscrire à une assurance-vie, mais lequel choisir ?
1ère règle d’or : l’assureur
Bien choisir son assureur est primordial puisque c’est sur le long terme que l’assurance vie est vraiment attractive. Comme le bon vin, elle se bonifie avec le temps, grâce à un traitement fiscal de faveur après huit ans.
Cet assureur doit être reconnu, réputé et solide (Suravenir, Generali, Apicil, Aviva)
Personnellement, je possède une assurance-vie gérée par Generali Vie chez LINXÉA et j’en suis très satisfait
Contrairement aux comptes titres (PEA ou compte titre ordinaire), un contrat d’assurance-vie n’est pas transférable d’un organisme bancaire à un autre, mais vous pouvez par contre en détenir plusieurs dans différents organismes bancaires.
2ème règle d’or : contrat collectif ou individuel
Le contrat individuel est signé entre vous et l’assureur, ce qui vous met en première ligne pour gérer votre argent. L’assureur ne peut donc pas modifier les caractéristiques du contrat (augmenter les frais de gestion, par exemple) sans votre accord.
Dans le cas du contrat collectif, ce n’est pas vous qui souscrivez directement le contrat auprès de l’assureur, mais un intermédiaire (courtier, banque ou association). Désigné comme étant l’adhérent, et non le souscripteur, vous pouvez alors subir des modifications sur votre contrat sans les avoir demandées : vous devez seulement en être informé trois mois avant leur mise en vigueur.
Recommandation : pour être complètement autonome, ne retenez que les contrats individuels OU éventuellement à des contrats collectifs à frais bloqués à vie comme chez LINXÉA.
3ème règle d’or : le rendement du fonds en euros
Si vous avez un profil prudent, la performance du fonds en euros reste un critère important pour choisir un contrat d’assurance-vie, mais il ne doit pas être le seul.
Surtout si vous souhaitez faire mieux que l’inflation et donc vous enrichir véritablement avec votre épargne, alors il faut investir une partie de votre capital dans les unités de compte.
Souvent, les assurances vie en ligne proposent un fonds en euros classique et un fonds en euros dynamique. Mais il ne faut pas s’attendre à des miracles.
Vous constaterez dans le tableau ci-dessous les différences de performances en 2022 distribuées entre janvier et février 2023 selon les courtiers en ligne et les banques.
Les taux d’épargne remontent en flèche à cause de l’inflation, alors pensez-vous que le rendement du fonds en euros en fera autant cette année ?
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